Travaille [LIBRE]

Sydney venait d'arrivée au Look At Me, où elle travaillait 4 soir par semaines. Il n'y avait presque personne, y compris Caprice qui devait pourtant la rejoindre.. Elle s'ennuyait a mourir ces temps ci, bien qu'elle soit habillé comme une ados, les hommes ne voyait en elle qu'une femme mûr.. C'est quoi leur probleme ? Il faut qu'elle se mettre a nue pour qu'ils voient a quel point elle est belle, sexy et a envie de s'amuser ? Bon, j'exagère un peu, mais c'est vrai que depuis le debut de la semaine, aucun homme n'est venu la rejoindre chez elle apres le boulo..bizarre pourtant, c'est une de ces principaux centre d'interets..et le lendemain ils repartent avec leur conjointes respectifs ni vu ni connus... Sydney rangeait quelque bouteille, telement plongé dans ces pensés qu'elle ne remarqua même pas la personne en face d'elle qui etait en train de lui commander un scotch bien serré. Qui etait-ce ? Elle ne l'avait encore jamais vu(e)... Enfin quelqu'un dans ce foutu club pourtant branché ! A cet heure ci, il n'y avait que 4 pelerins qui n'avaient pas du comprendre qu'on n'ouvrait pas avant minuit et qui étaient pourtant là alors qu'il n'était que 22h ! Ils avaient surement dû rentré grace a quelqu'un de l'interieur...

Alors vers 8h00 il rentra chez lui, il fonça dans la douche et ensuite en ressorti très propre. Il mit un jean plutôt large et un tee short très moulant dolce et gabanna plus une veste noir en sorte de cuir. Il mit ses basket et du parfum sans oublier de se laver les dents et de se coiffer. Ca ne prenait pas beaucoup de temps et heureusement car il n’aime pas passé des heures dans sa salle de bain.

Il regarda l’heure et vit que malheureusement il allait encore être en retard en cours, il prit a toute vitesse son sac et sport et un autre de cours et alla en cours dans son petit cabriolet. En arrivant il se gara et sorti de sa voiture, là toutes les filles le regardèrent et lui faisait son beau, il leur sourit quand une cinglé vint vers lui et lui sauta au cou en lui demandant de sortir avec lui , lui l’a regarda gentiment et lui dit désolé les bimbos ça ne m’intéressent pas. Clark s’en fichait de blesser les filles au contraire, il ne faisait pas attention tout ce qu’il l’intéressait était lui même et les jolies filles avec qui il veut être , coucher plutôt car Clark, n’est pas le genre fidèle. Il aimerait mais ce n’est pas dans ses habitudes alors tant pis pour les filles.

Après les cours il alla chez lui, on était vendredi soir donc bien sur Clark décida de sortir faire un peu la fête comme d’habitude. Il s’habilla de façon fashion et classe histoire de faire fondre toutes les filles. Ce soir l avait vraiment envie de s’amuser et pourquoi pas rencontrer une femme alors il prit son cabriolet et roula jusqu’à la boite de nuit. En arrivant dedans deux filles aux bars le regardèrent il commanda une vodka quand une belle fille vint l’aborder…

S

ydney regarda donc de plus pres le bel inconnu. Etant du coté de l'Upper East Side, tout le monde la connaissait, et elle, bien entendu, connaissait tout les gens branchés, même si elle ne leur avait jamais parlé. Il s'agissait ici de Clark Davisson, lui aussi riche heritié. Elle souria, et lui apporta sa commande après que celui-ci lui tint un billet devant elle. Elle se decida a commencer elle aussi a boire, en l'honneur de son premier client de la soirée, et surtout pour attendre Caprice ! Clark avait l'air d'attiré par mal de fille, car un reste de rouge a lèvre etait collé sur le coin de sa lèvre et sur le haut de son cou. Elle ria, puis lorsque le jeune homme la dévisagea en se demandant surement pourquoi elle rigolais, elle lui dit agréablement :

"Whaou... tu rend les filles en pleine extase ces temps ci ? Le rouge à lèvre de qualitée est encore collé sur ta lèvre et dans ton cou..."

P

uis, en tendant sa main elle ajouta :

"Sydney Waldorf...enchentée"

C

elui ci la connaissait surement, tout comme le reste de New York. En plus, elle venait de faire la une du célèbre site Quiet Soul ! Avec en prme une photo d'elle, très compromettante... Après ça, comment pouvais-elle encore passé (presque) inconito ? A qui le dites vous...