Non , merci [ My love ]

En ce début de matinée, Travis s’était réveillé avec la folle envie de voir sa chérie au soir à son lieu de travail. Justement, ça tombait très bien étant donné qu’il avait justement eu sa journée de congé. Il pourrait se consacrer entièrement à Shelby, que demander de plus ? Enfin avec de penser à ça, il fallait qu’il fasse quelques trucs avant, comme par exemple sortir de son lit pour s’apprêter, sortir de chez lui habillé serait certainement plus commode…Quoique, les filles ne diraient pas non à contempler un corps tel que le sien…Mais il ne pouvait plus se permettre de faire de telles choses, ça faisait un peu plus de six mois qu’il était en couple et Shelby n’apprécierait pas vraiment d’apprendre ça. Et puis pour la première fois de sa vie, il ne se lassait pas de cette relation si passionné…Il était toujours heureux à l’idée de retrouver sa petite amie, savoir qu’il pourrait le prendre dans ses bras, l’embrasser et tout un tas de trucs que font des couples dirons-nous pour faire bref xD.

Après avoir passé une petite demi-heure dans la salle de bain, il descendit directement dans la cuisine pour prendre un croissant qui se trouvait sur la table. Hundred avait eu la générosité d’aller chercher le petit déjeuner aujourd’hui apparemment. Travis n’allait pas sans plaindre, ça lui éviterait de se préparer lui même son déjeuner. Un coup d’œil rapide sur l’horloge accrochée au mur pour se rendre compte qu’il devrait accélérer s’il ne voulait pas être en retard pour son rendez-vous avec sa petite sœur. Et oui en plus de voir sa chérie au soir, il avait l’occasion de revoir Julia qu’il n’avait plus vue depuis un mois. Pourtant, ils habitaient tout deux à Londres, à croire que leurs emploies du temps respectifs étaient très chargés. Bon c’est pas tout ça, mais il était déjà en retard, à croire que la ponctualité n’était pas un de ses points forts, personne n’est parfait après tout . C’est seulement quinze minutes plus tard que le jeune homme sortit de son appartement pour enfin se rendre dans le centre ville de Londres et retrouver sa petite sœur adorée.

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17h, le jeune homme rentrait seulement chez lui, il ne souvenait plus que sa sœur était aussi bavarde…Avec tout ça, il n’avait que très peu de temps pour se changer et rejoindre sa petite amie. Mais là, pas question d’arriver en retard et la laisser seule quelque instant avec une bande de mâles assoiffés de sexe…Il y allait un peu fort, mais il n’avait pas confiance en ces mecs qui draguent à tout bout de champs. Lui jaloux ? Non ce n’est pas son style . Aller, direction penderie pour choisir une tenue un peu plus décontracté. Il se rendit ensuite dans la salle de bain pour faire les choses habituelles, pour ne pas tout décrire. Il en ressortit plus tard, et se précipita chercher sa veste et les clés de sa voiture.

Il arriva au Look At Me, lieu où il avait rendez-vous avec Shelby, une quinzaine de minutes plus tard. S’il entrait à l’intérieur, elle aurait beaucoup de mal à le retrouver vu le monde qu’il y avait, certes, il n’y était pas encore rentré, mais il s’en doutait et surtout, il travaillait là presque tous les jours et pas une seule fois la salle n’était pas bondée. Travis opta donc pour l’attendre devant l’entrée, il tournait souvent sur lui-même afin de la voir arrivée. C’est alors qu’il sentit deux petites mains se poser sur ses yeux. Il ne lui fallut qu’un quart de seconde pour reconnaître la personne, sans même avoir entendu sa voix…

"Peut-être une de mes nombreuses maîtresses …" dit-il avec malice. "Avec un peu plus de sérieux, je répondrais simplement la femme avec laquelle j’aime tant me réveiller le matin…"

Travis se retourna, prenant par la même occasion ses mains dans les siennes. Un fin sourire apparut sur ses lèvres en apercevant le visage de sa bien aimée qui lui avait horriblement manqué ces derniers temps. Le jeune homme déposa ses lèvres sur les siennes, qu’est-ce qu’il pouvait aimer la douceur de ses lèvres. Il prolongea le baiser un petit temps, jusqu’à devoir s’éloigner un peu d’elle pour manque de souffle. Il la regarda dans les yeux, gardant son petit sourire heureux sur les lèvres.

"Comment vas-tu ?"

Il ne fallut pas une seconde pour que Travis reponde et que le son de sa voix arrive aux oreilles de Shelby, elle leva les yeux au ciel quand il parla de maitresse. Bien evidement c'était de la taquinerie et elle le savait. Mais son sourir s'elargit a cette deuxieme phrase, la femme qu'il aime ? Et ben dis donc elle était très contente d'entendre sa. Il faut dire que Shelby est une fille qu'il faut rassurer la plus part du temps. Elle serra doucement la main de son bien aimé qui c'était retourné et qui lui avait offert un tedre baiser que la jeune femme ne manqua pas de prolonger avec une pointe d'amour. Malheureusement, a bout de souffle les deux tourteraux du se séparer. Les yeux de Shelby petillaient de bonheur, et son regard était plongé dans celui de son amoureu. Qui avait pnsé que Shelby tomberait un jour amoureuse a ce point ? Elle qui de ce coté la n'avait pas vraiment eu la cote en étant adolescente. Si peut etre deux petits amis par an, mais jamais de relations serieuses, surment des relations d'une semaine pas plus. Et cette fois-ci était-elle la bonne ? Six mois ce n'est quand même pas rien, en tout cas pour Shelby . . .

- Dur journée mais ca va . . . Ne me demande pas pourquoi je voudrais bien l'effacer definitivement de ma mèmoire, cette journée en enfer . . . Mais ca va beaucoup mieu depuis que je t'ai a mes cotés ! Et toi ca va ?

Dit-elle avec un sourir qui se termina en une grimace discrete, elle entendait la musique de la boite et se demandait si, quand la soirée sera finie, elle entendra encore ou si il lui faudra un appareil auditif. Elle posa en quelque ssecondes son regard sur une jeune femme qui avait l'air . . . Pas dans son assiette, surment avait=elle trop bu vu qu'elle allait en ' zigzag '. Habillé comme une fille qui gagne son pain par le trottoir, mini jupe et decolleté plongeant, Shelby ne put se demander ce qu'elle allait devenir dans l'avenir . . . Enfin bref elle s'en foutait juste un peu puisque ce n'est pas elle, et heureusement ! Le bonheur devrait etre contagieu . . .